FAQ
Toutes les questions sur les séjours longue durées sur Airbnb
Dernière mise à jour
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Le plus simple reste de faire un montant forfaitaire que vous allez inclure dans votre prix de réservation. Si toutefois vous voulez éviter tout abus, il convient de le mettre dans la description de votre annonce et prévenir votre locataire Airbnb des charges qui pourront être régularisé à son check-out en lui demandant de l'argent.
Le programme Assurance Hôte d'Airbnb intervient comme couverture principale et offre une responsabilité civile aux hôtes. En savoir plus
Il est possible que Airbnb ne parvient pas à prélever votre voyageur. Dans 90% des cas Airbnb parvient à collecter les fonds. Dans les 10% il peut être intéressant d'envisager une assurance impayé.
Lewis ne possède pas de boule de cristal. La méthode la plus simple est de mettre votre annonce sur Airbnb :
mettre 30 nuits minimum
mettre une réduction pour les séjours de 28 nuits maximum
Attendez quelques jours pour voir si vous avez de la demande. Dans le cas échéant, revenez sur votre annonce: augmentez votre réduction, améliorez votre annonce...
Oui vous pouvez. Par contre vous ne bénécifierez pas de la tranquilité d'esprit qu'offre Airbnb : paiements automatisés, garantie hôte, vérification des locataires... Et surtout de Lewis : seules les réservations Airbnb sont compatible avec notre service de rédaction et signature de Bail électronique. Certes Airbnb prend 3% à vous et 12% au locataire, mais c'est avantageux pour louer sur du long terme en bail mobilité !
Le bail de location ne peut tenir compte uniquement du voyageur principal de la réservation Airbnb qui est celui qui règle généralement. Toutefois, vous pouvez soit :
fournir une attestation hébergement au 2ème locataire qui sera utile pour toute démarche administrative
Le locataire remplit Prenom 1 et Prenom 2
, Nom 1 et Nom 2
et 2 signatures distinctes sur le bail de location. Cette solution est plus pratique mais risque d'être rejeté pour certaines démarches administratives.
Dès lors qu'il s'agit d'une location d'habitation (vide ou meublée, à usage de résidence principale ou secondaire, de longue ou courte durée), tout propriétaire bailleur doit remettre à son locataire des diagnostics immobiliers lors de la signature du contrat de bail.
Les diagnostics sont regroupés au sein du dossier de diagnostic technique (DDT) qui comprend :
l'état des risques naturels et technologiques qui indique si le logement se situe ou non dans un périmètre d'exposition à un ou plusieurs aléas naturels, miniers ou technologiques. L'état mentionne aussi le risque sismicité, le potentiel radon et l'éventuelle pollution du sol ;
le diagnostic de performance énergétique (DPE) qui renseigne sur le degré d'isolation thermique du logement et sur les charges prévisionnelles de chauffage ;
le constat des risques d'exposition au plomb (CREP) qui indique si les revêtements du logement contiennent ou non du plomb ;
l'état de l'installation intérieure d'électricité et de gaz qui évalue les risques pouvant porter atteinte à la sécurité des personnes. De manière générale, pour louer valablement, les installations de gaz et d'électricité ne doivent pas être dangereuses et doivent assurer la sécurité des occupants ;
depuis le 1er juin 2020, l’information sur les nuisances sonores aériennes.